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Un site remarquable sur la 300sl
http://www.300sl.fr/
L'histoire de la fabuleuse 300SL w198, ou comment avoir une véritable voiture de course à son catalogue en ce début des 50'.
Alors, portes "papillon" ou roadster ? Difficile de choisir, l'une est tellement emblématique, l'autre tellement ... parfaite...
Voici un article surprenant de RETROVISEUR (N°56 d'Avril 93) consistant en un curieux face à face entre une Panhard Monopole & une Mercedes 300SL.
Ecrit par S Reissier et photos de C de Platter.
D'accord, on ne peut pas comparer 3L/6cyl & 0L75/2cyl .. mais avouez donc que la Panhard est séduisante sans être vraiment bon marché (seulement quatre fois moins chère que la 300SL)
Je vous laisse juge:
Douée d'une très forte personnalité (seule la 190SL copia un peu sa proue) , ses portières en aile de papillon attestant une paternité envers ... la voiture de Batman
la 300SL est vraiement unique.
Voici un essai paru dans AutoRetro de mars 94 avec texte & photos de G Bonnafous:
Un article d' autoretro d' avril 1996 (N°187) rédigé par J Rosinski avec des photos de E Zurini:
Un dossier complet rédigé par JE Raoul & C Bohère sur des photos de Dingo paru dans le RETROVISEUR N°116 d'avril 1998.
La mise en situation est de la styliste Nathalie.
Cet article reprend des photos d'articles antérieurs.
Un autre éclairage par etoiles passion N° 10 de juillet 2010.
Ecrit par François Lescoup avec des photos de Clément Choulot
Remarquez le logo en fin d'article (Docs PLUSWEB) signalant un développement sur le site étoilespassion.com: http://www.etoilespassion.com/les_plus_du_mag.html
Un beau dossier de la revue Autocollector de juin 2011 signé P Saint-Michel avec des photos de la Daimler AG et de PY Gaulard
Deux roadster W198 furent préparés par l'Usine pour la course devenant ainsi 300SLS.
C'est leur histoire que François Lescoup nous raconte ( N° 14 d'étoiles passion) avec des photos Daimler AG
Un article d' AutoPlus du dernier trimestre 2012 (N° 5) rédigé par J Fombelle avec un crédit photos inconnu:
Dernière modification par Corail (22-01-2017 15:53:35)
200 T 1982
280 CE 1981
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Eh bien moi, il y a longtemps que j'ai choisi !
Et choisi le roadster !
Le papillon, vu et revu, devenu un objet d'admiration obligatoire, en finit presque par devenir commun...........
Oui, je sais................. alors je sors !
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Regardez la liste du prix des MB en 1961 : le coupé W112 300SE était vendu plus cher que le roadster 300SL ! L'histoire n'a pas confirmé ce choix...
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Le prix de vente neuf n'a jamais été un indice de cotation ultérieure en auto ancienne.
L'expérience fourmille de mille exemples quelque en soit les marques.
La 190SL n'était pas destinée à un tel engouement (ce n'était même pas une sportive à l'époque de son lancement).
La 230SL faisait bien pâle figure à comparer d'un cabriolet 111 (220SE puis 250SE); tableau de bord cheap (peint !), Nbre de place, ergonomie (capote, ..) et maintenant c'est l'inverse !
Les coupé/cabriolet 111 lancés bien avant les 113 ... ont vu leur production continuée après l'arrêt de fabrication des 113 et ont même été motorisé de façon plus agressive (le V8 3L5).
La W198 serait comme un objet d'art, une maison de maître, une propriété en Sologne, un château en Ecosse: un bien beau rêve.
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Attention de ne pas tomber dans le panneau publicitaire dessiné par Mercedes-Benz avec ses noms de modèles. La 300 SLR n'a rien à voir avec les 300 SL W194 Prototype 1952 et 300 SL W198 coupé de 1954, puis roadster de 1957.
Sauf le monogramme fiché à l'arrière : 300 SL +R comme Rennen "de course". On se souvient qu'ils voulaient aller plus loin dans le rapprochement avec les véhicules de série, avec le coupé 300 SLR dit depuis "Uhlenhaut" du nom de l'ingénieur-concepteur qui s'en servit pour aller... au bureau !
Mais tout ceci est une autre histoire. Pour en revenir aux 300 SL, voici, prise à Retromobile, la W194 qui vint en avril 52 aux essais du Mans avec son aérofrein.
L'appui était tel que ses attaches ne donnèrent pas confiance. On arrêta là l'expérience, mais on en reparlera.
Cette voiture est le châssis n°6.
Dernière modification par Huhu (12-09-2009 16:14:08)
Le magazine des Mercedes-Benz d'hier et d'aujourd'hui : www.etoilespassion.com
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Le modèle était exposé à paris au salon de l'automobile 2006.
La Mercedes-Benz 300 SLR est une voiture de course engagée par Mercedes-Benz dans les épreuves "sport" de la saison 1955. Son nom reste associé au drame des 24 heures du Mans 1955.
Contrairement à ce que son appellation trompeuse laisse penser, la Mercedes-Benz 300 SLR n'est pas dérivée de la Mercedes-Benz 300 SL. Il s'agit en réalité de la version "sport" (et donc biplace et carénée) de la fameuse Mercedes-Benz W196 qui domina le championnat du monde de Formule 1 en 1954 et 1955. La SLR en reprenait notamment le moteur 8 cylindres en ligne, avec une cylindrée toutefois portée de 2500 cm3 à 3000 cm3.
Aux mains de Juan Manuel Fangio et de Stirling Moss, elle domina le championnat du monde des voitures de sport, remportant des victoires dans des épreuves aussi prestigieuses que la Targa Florio ou les Mille Miglia (co-pilote de Stirling Moss, le journaliste britannique Denis Jenkinson livra un récit épique de la victoire, devenu un classique du journalisme sportif).
La domination des 300 SLR fut pourtant entachée par le drame des 24 heures du Mans. Surpris par une manoeuvre de Lance Macklin, lui même piégé par une manoeuvre de Mike Hawthorn, le vétéran français Pierre Levegh (incorporé de dernière minute à l'équipe d'usine Mercedes) s'écrasa violemment contre un talus et fut tué sur le coup. Plus grave, sa Mercedes se désintégra littéralement et des éléments (tel le moteur, le train avant et le capot) furent projetés dans le public, tuant plus de 90 personnes. La direction de Mercedes décida quelques heures plus tard de retirer de la course les 300 SLR encore en lice, et notamment celle de l'équipage star Fangio-Moss alors en tête de l'épreuve.
Suite à ce drame, Mercedes honora ses engagements jusqu'à la fin de saison (que ce soit en "sport" ou en Formule 1), avant de se retirer des épreuves internationales sur circuit pendant plus de 30 ans.
Dernière modification par PHILIPPE2 (15-02-2009 15:23:22)
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Surpris par une manoeuvre de Lance Macklin, lui même piégé par une manoeuvre de Mike Hawthorn, le vétéran français Pierre Levegh (incorporé de dernière minute à l'équipe d'usine Mercedes) s'écrasa violemment contre un talus et fut tué sur le coup. Plus grave, sa Mercedes se désintégra littéralement et des éléments (tel le moteur, le train avant et le capot) furent projetés dans le public, tuant plus de 90 personnes.
Un de mes oncles avait 19 ans à l'époque et il était au Mans cette année là. Il nous raconte de temps en temps le carnage. Il avait notamment prêté sa chaise à une dame pour qu'elle puisse mieux voir la course. Elle a été tuée sur le coup, lui en a réchappé, mais sa passion pour l'automobile de course s'est évanouie à cet instant ...
250 SEcp/66 - Ds20/73
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